La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
NB : Ceci est un vieux post sur lequel je suis tombé hier...
Bonjour à toutes et à tous,
Je me prénomme Eriel. En fait pas du tout, je me prénomme Jérémie mais je pseudomme Eriel, je suis paladin sacré et j'invente des mots comme pseudommer, même si il m'apprive de tradugiverser...
Coq à l'anchois (quoi qu'il en soit pour les infirmes), étant un grand fan du Karaté Kid, j'applique les principes de Mr. Myagi à tous les espects de ma vie, et notamment WoW. Comment me direz-vous ? Et bien, Si Mr. Myagi que j'ai connu personnellement bien qu'il soit mort avant ma naissance, m'a appris une chose, c'est que pour être un bon joueur de wow, il faut sortir... maintenant. Enfin non, revenez lire le reste et puis sortez !
Mise en situation : Prenez d'un côté, une sortie raid et de l'autre, une sortie classique/pub/boite de nuit ou autre, et comparons-les dans un ordre chronologique.
Tout d'abord, nous commençons par le groupage, point de départ de ma réflexion anthropocolique :
1/ Le groupage
Le premier arrivé, le nolife (trad. le pochtron), qui a compté les minutes toute la journée, qui a mangé (trad. bu) à 6 heures du soir pour être sur de pas être à la bourre (trad. ne pas vomir), mais qui, paradoxalement, est celui qui supporte le moins l'attente. Et bien, en général, c'est le deuxième arrivé qui va se manger sa mauvaise humeur et qui va regretter d'être venu 40 minutes à l'avance. Sa phrase-type : « J'te jure, t'es témoin. Là ou pas là, à 8h30 pile, je pull. Le boss, je le solote. Rien à foutre, c'est la guilde qui paie les répas ». Traduction :[spoiler= « Tain, l'entrée est gratuite que jusqu'à 20h30. A 20h15, je démarre la bagnole. Et si je dois encore payer pour rentrer, vous me devez tous une Guiness. »][/spoiler]
Ensuite la grosse partie du troupeau arrive, mais il manque toujours UNE personne. Et presque tout le monde se met en mode LFG (trad. looking for girls), MAIS c'est en général à moment-là qu'une personne lâche : « Bon, ben j'afk 5 minutes le temps qu'il arrive... » (trad. Mais quel espèce de gr** connard de f*** de pute, celui-là. Il m'a fait rentrer du boulot plus tôt, et il est même pas là. Je suis même plus certain de censurer les bons mots à cause de lui. C'est bon quoi, j'vais prendre une douche, chuis gavé ! ».
A peine est-il parti que le dernier arrive à la seconde près, bien entendu en s'excusant d'un : « Désolé, problème de connexion » (trad. J'ai du négocier un mois de vaisselle pour qu'elle me laisse sortir. Sinon, il est où l'autre ? Je croyais qu'il rentrait du boulot directement ?!).
Trente minutes plus tard, donc quand l'homme d'affaire est finalement propre, on se rend à l'entrée. Et sur les 10 qui sont partis, 8 sont arrivés. Quand on les whisp (trad. SMS), on reçoit généralement deux genres de réponses. « Ouais, je sais, désolé ! Je me suis encore gouré de tp, l'habitude... » (trad. Ah, mais en fait, t'es en train de me dire qu'on sort pas au Globe ce soir ?!) ou « Sorry, oublié d'acheter les compos » (trad. Pas envie de payer le paquet 10 euros, alors je me suis arrêté au tabac avant que ça ferme).
2/ A l'entrée
Quand enfin tout le monde est là, il y a presque toujours des espèces de fouteur de m**** pvp qui ne servent absolument à rien, sauf t'empêcher de passer (trad. Les videurs). Ces derniers se retranchent généralement derrière des phrases bizarres et hors contexte pour justifier leurs actions : « Pour l'Alliaaaaannceeuuuhhh !!! » (Trad. Pas d'baskets, j'ai dit !)
3/ Dans le raid/ pensez à vos buff
Quand tu es finalement rentré, c'est l'heure de prendre le festin, enfin, si tu arrives à cliquer dessus parce que les trois gros taurens se sont encore assis dessus. (trad. On se fout sur la gueule pour avoir une place derrière le bar, en fusillant du regard le vieux playboy qui s'y accoude pour siroter son cocktail, sans se rendre compte qu'il y a une file de 20 mètre derrière lui). Ensuite tu prends ton flacon (une deuxième pinte parce que sinon c'est pas assez), et tes différentes améliorations (on va se recoiffer et faire sa tête de lover devant le miroir des chiottes).
4/ Les trash
Ensuite, on se chauffe un peu sur les trashs (On discute avec les moches pour se sentir beau et plein de confiance). Avec un peu de chance, tu tombes sur un trash loot que tu needais absolument (J'sais que j'ai un appareil, mais on me l'enlève dans deux jours... tu veux voir mon troisième piercing ?! Oo). En général, tu te concentre tout de même sur le premier boss (trad. La bombe que t'as cru qu'elle te faisait signe quand t'es entré, mais qui en fait disait bonjour au barman derrière toi et te calcule même pas).
5/ Le boss
Pour le boss donc, tu vas demander à ton copain sportif (trad. Le tank), d'engager la conversation (le pull). Tu attends comme un boulet les mains dans les poches en attendant qu'il te présente (trad. tu le laisses monter l'aggro avant de claquer les CD), puis tu attaques comme un bourrin (DPS), soit en lui faisant un compliment sur sa tenue (dégât direct) ou un sous entendu impliquant que tu es très bien membré (DoT). Quand après 30 secondes environ, tu perds en crédibilité (points de vie) et que tu dois absolument la remonter, soit tu appelles ton pote moche (le healer) pour qu'en comparaison tu aies l'air du prince charmant. Petite précision concernant le healer, il a le choix :
soit il enlève son t-shirt et se mets à crier : « Les filles, je vais toutes vous b***** », ce qui à l'avantage mettre en valeur tout le reste du groupe à part lui (Heal AoE),
soit il glisse un petit mot à l'oreille de la demoiselle : « Stp lui dis surtout pas que je t'ai dit çà, mais c'est le mec le plus parfait de la planète, et j'aimerais qu'il se remette avec ma sœur avocate, donc oublie-le stp » (Hot),
soit il te dit bien fort devant elle, en plein stress : « Mec, viens vite, y'a des types louches qui traînent près de ta Ferrari (Imposition des mains).
Pour lisser le truc, tu peux également lui payer un verre (claquer une popo), utiliser un CD de survie (Désolé d'avoir vomi sur tes pompes, mais quand on vient de gagner au lotto, on a tendance à boire un peu trop), ou un CD de raid (Je sais que moi et mes potes footballeurs on à l'air bruyants comme çà, mais une victoire en équipe contre Manchester, ça se fête).
6/ Le wipe
Mais comme tu es en Heroic Mode (trad. En plus d'être bonne, elle est superficielle et puis toi, en plus d'être fauché, t'es moche), la moindre erreur de placement (tu oublies de mettre le beau barman dos au boss), d'optimisation de l'équipement (chemise qui sort de la braguette), de respect du timing (tu danses le rock sur de la techno), et Bam ! C'est le wipe (trad. Elle imite un Cobra quand tu essaies de l'embrasser ou plus précisément, c'est gros rateau dans ta gueule !!!).
7/ La fin du raid
Mais tu te reprends vite, et donc tu la laisses tranquille et tu retournes boire un verre avec tes potes (second festin), avant de revenir à la charge en améliorant un peu ta technique. Et puis tu répètes le cycle. Des fois, pour changer, tu peux essayer sur un autre boss, mais comme tu recommences à zéro, ça reste en général purement dans un but théorique. Aussi, quand tu a trop wipé sur le même boss, et que la soirée est presque finie, plutôt que de reprendre un flacon qui ne servira pas beaucoup (trad. tu es déjà bourré), tu peux terminer sur les trashs dans l'espoir de faire tomber un autre trashloot, ou tout simplement augmenter ta réputation (Ptet que la semaine prochaine, elle amènera ses copines du yoga).
8/ Le débriefing
Enfin, le lendemain, alors que tu te paies une haleine de druide (trad. tu as une haleine de druide), c'est l'heure du débriefing sur le forum (trad. Tu cherches à savoir ce que tu as bien pu foutre la veille parce que franchement, après la sixième pinte, c'est le trou noir...) Et quand le RL (trad. le capitaine de soirée qui est resté sobre et se souviens de tout) nous rappelle à tous les conneries qu'on a faites la veille, on prend sur soi, on se remet en question et on se dit : « Allez, ce soir, on remet çà... mais en mieux !!! »
Bonjour à toutes et à tous,
Je me prénomme Eriel. En fait pas du tout, je me prénomme Jérémie mais je pseudomme Eriel, je suis paladin sacré et j'invente des mots comme pseudommer, même si il m'apprive de tradugiverser...
Coq à l'anchois (quoi qu'il en soit pour les infirmes), étant un grand fan du Karaté Kid, j'applique les principes de Mr. Myagi à tous les espects de ma vie, et notamment WoW. Comment me direz-vous ? Et bien, Si Mr. Myagi que j'ai connu personnellement bien qu'il soit mort avant ma naissance, m'a appris une chose, c'est que pour être un bon joueur de wow, il faut sortir... maintenant. Enfin non, revenez lire le reste et puis sortez !
Mise en situation : Prenez d'un côté, une sortie raid et de l'autre, une sortie classique/pub/boite de nuit ou autre, et comparons-les dans un ordre chronologique.
Tout d'abord, nous commençons par le groupage, point de départ de ma réflexion anthropocolique :
1/ Le groupage
Le premier arrivé, le nolife (trad. le pochtron), qui a compté les minutes toute la journée, qui a mangé (trad. bu) à 6 heures du soir pour être sur de pas être à la bourre (trad. ne pas vomir), mais qui, paradoxalement, est celui qui supporte le moins l'attente. Et bien, en général, c'est le deuxième arrivé qui va se manger sa mauvaise humeur et qui va regretter d'être venu 40 minutes à l'avance. Sa phrase-type : « J'te jure, t'es témoin. Là ou pas là, à 8h30 pile, je pull. Le boss, je le solote. Rien à foutre, c'est la guilde qui paie les répas ». Traduction :[spoiler= « Tain, l'entrée est gratuite que jusqu'à 20h30. A 20h15, je démarre la bagnole. Et si je dois encore payer pour rentrer, vous me devez tous une Guiness. »][/spoiler]
Ensuite la grosse partie du troupeau arrive, mais il manque toujours UNE personne. Et presque tout le monde se met en mode LFG (trad. looking for girls), MAIS c'est en général à moment-là qu'une personne lâche : « Bon, ben j'afk 5 minutes le temps qu'il arrive... » (trad. Mais quel espèce de gr** connard de f*** de pute, celui-là. Il m'a fait rentrer du boulot plus tôt, et il est même pas là. Je suis même plus certain de censurer les bons mots à cause de lui. C'est bon quoi, j'vais prendre une douche, chuis gavé ! ».
A peine est-il parti que le dernier arrive à la seconde près, bien entendu en s'excusant d'un : « Désolé, problème de connexion » (trad. J'ai du négocier un mois de vaisselle pour qu'elle me laisse sortir. Sinon, il est où l'autre ? Je croyais qu'il rentrait du boulot directement ?!).
Trente minutes plus tard, donc quand l'homme d'affaire est finalement propre, on se rend à l'entrée. Et sur les 10 qui sont partis, 8 sont arrivés. Quand on les whisp (trad. SMS), on reçoit généralement deux genres de réponses. « Ouais, je sais, désolé ! Je me suis encore gouré de tp, l'habitude... » (trad. Ah, mais en fait, t'es en train de me dire qu'on sort pas au Globe ce soir ?!) ou « Sorry, oublié d'acheter les compos » (trad. Pas envie de payer le paquet 10 euros, alors je me suis arrêté au tabac avant que ça ferme).
2/ A l'entrée
Quand enfin tout le monde est là, il y a presque toujours des espèces de fouteur de m**** pvp qui ne servent absolument à rien, sauf t'empêcher de passer (trad. Les videurs). Ces derniers se retranchent généralement derrière des phrases bizarres et hors contexte pour justifier leurs actions : « Pour l'Alliaaaaannceeuuuhhh !!! » (Trad. Pas d'baskets, j'ai dit !)
3/ Dans le raid/ pensez à vos buff
Quand tu es finalement rentré, c'est l'heure de prendre le festin, enfin, si tu arrives à cliquer dessus parce que les trois gros taurens se sont encore assis dessus. (trad. On se fout sur la gueule pour avoir une place derrière le bar, en fusillant du regard le vieux playboy qui s'y accoude pour siroter son cocktail, sans se rendre compte qu'il y a une file de 20 mètre derrière lui). Ensuite tu prends ton flacon (une deuxième pinte parce que sinon c'est pas assez), et tes différentes améliorations (on va se recoiffer et faire sa tête de lover devant le miroir des chiottes).
4/ Les trash
Ensuite, on se chauffe un peu sur les trashs (On discute avec les moches pour se sentir beau et plein de confiance). Avec un peu de chance, tu tombes sur un trash loot que tu needais absolument (J'sais que j'ai un appareil, mais on me l'enlève dans deux jours... tu veux voir mon troisième piercing ?! Oo). En général, tu te concentre tout de même sur le premier boss (trad. La bombe que t'as cru qu'elle te faisait signe quand t'es entré, mais qui en fait disait bonjour au barman derrière toi et te calcule même pas).
5/ Le boss
Pour le boss donc, tu vas demander à ton copain sportif (trad. Le tank), d'engager la conversation (le pull). Tu attends comme un boulet les mains dans les poches en attendant qu'il te présente (trad. tu le laisses monter l'aggro avant de claquer les CD), puis tu attaques comme un bourrin (DPS), soit en lui faisant un compliment sur sa tenue (dégât direct) ou un sous entendu impliquant que tu es très bien membré (DoT). Quand après 30 secondes environ, tu perds en crédibilité (points de vie) et que tu dois absolument la remonter, soit tu appelles ton pote moche (le healer) pour qu'en comparaison tu aies l'air du prince charmant. Petite précision concernant le healer, il a le choix :
soit il enlève son t-shirt et se mets à crier : « Les filles, je vais toutes vous b***** », ce qui à l'avantage mettre en valeur tout le reste du groupe à part lui (Heal AoE),
soit il glisse un petit mot à l'oreille de la demoiselle : « Stp lui dis surtout pas que je t'ai dit çà, mais c'est le mec le plus parfait de la planète, et j'aimerais qu'il se remette avec ma sœur avocate, donc oublie-le stp » (Hot),
soit il te dit bien fort devant elle, en plein stress : « Mec, viens vite, y'a des types louches qui traînent près de ta Ferrari (Imposition des mains).
Pour lisser le truc, tu peux également lui payer un verre (claquer une popo), utiliser un CD de survie (Désolé d'avoir vomi sur tes pompes, mais quand on vient de gagner au lotto, on a tendance à boire un peu trop), ou un CD de raid (Je sais que moi et mes potes footballeurs on à l'air bruyants comme çà, mais une victoire en équipe contre Manchester, ça se fête).
6/ Le wipe
Mais comme tu es en Heroic Mode (trad. En plus d'être bonne, elle est superficielle et puis toi, en plus d'être fauché, t'es moche), la moindre erreur de placement (tu oublies de mettre le beau barman dos au boss), d'optimisation de l'équipement (chemise qui sort de la braguette), de respect du timing (tu danses le rock sur de la techno), et Bam ! C'est le wipe (trad. Elle imite un Cobra quand tu essaies de l'embrasser ou plus précisément, c'est gros rateau dans ta gueule !!!).
7/ La fin du raid
Mais tu te reprends vite, et donc tu la laisses tranquille et tu retournes boire un verre avec tes potes (second festin), avant de revenir à la charge en améliorant un peu ta technique. Et puis tu répètes le cycle. Des fois, pour changer, tu peux essayer sur un autre boss, mais comme tu recommences à zéro, ça reste en général purement dans un but théorique. Aussi, quand tu a trop wipé sur le même boss, et que la soirée est presque finie, plutôt que de reprendre un flacon qui ne servira pas beaucoup (trad. tu es déjà bourré), tu peux terminer sur les trashs dans l'espoir de faire tomber un autre trashloot, ou tout simplement augmenter ta réputation (Ptet que la semaine prochaine, elle amènera ses copines du yoga).
8/ Le débriefing
Enfin, le lendemain, alors que tu te paies une haleine de druide (trad. tu as une haleine de druide), c'est l'heure du débriefing sur le forum (trad. Tu cherches à savoir ce que tu as bien pu foutre la veille parce que franchement, après la sixième pinte, c'est le trou noir...) Et quand le RL (trad. le capitaine de soirée qui est resté sobre et se souviens de tout) nous rappelle à tous les conneries qu'on a faites la veille, on prend sur soi, on se remet en question et on se dit : « Allez, ce soir, on remet çà... mais en mieux !!! »
Dernière modification par Eriel le mer. 28 nov. 2012, 09:14, modifié 2 fois.
Un alcoolique, c'est quelqu'un que t'aimes pas mais qui picole autant que toi..
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)




"L'honneur est la voie à suivre, bien sur, mais comme pour tout chemin il faut savoir prendre des raccourcis"
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
Je sais pas si je dois dire GG pour le fun ou juste te /gkick pour le taunt vicieux sur un healer, druide de plus (pour le moment en tt cas).
Mais bon vu que t'es heal aussi, je dirai juste vive l'impo!
Mais bon vu que t'es heal aussi, je dirai juste vive l'impo!
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
mdr tout bonnement excellent et tellement réaliste



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- Messages : 2690
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
énorme, je me suis marrer jusqu'au bout.... ça ressemble tellement à la vrai vie 

Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
Je ne regarderai plus jamais un trash loot de la même façon 

Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
C'est un aperçu très utile de la mentalité masculine ^^'
Mais j'avoue j'ai bien ri ^^
Mais j'avoue j'ai bien ri ^^
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
Mort de rire 

Bien à vous,
Origais (Pandheal et Liannia inside)
"Si t'es fier d'être un hordeux frappe sur un nain..."
Origais (Pandheal et Liannia inside)
"Si t'es fier d'être un hordeux frappe sur un nain..."
Re: La méthode Myagi appliquée à WOW... (à lire sous peine)
Déterrage de topic à la demande de l'auteur sur TS pendant le raid d'hier soir


